Les deux leviers qui ont actionné la démarche qui m'a conduit à me raser comme autrefois sont, d'une part, la surconsommation systématique et, d'autre part, la dégradation inéluctable de ma planète. Las de faire fructifier le magot de messieurs GILETTE, WILKINSON, et consorts, j’ai opté pour le rasage au coupe chou, réduisant sensiblement par la même occasion ma production de déchets polluants. Pour ce faire, j’ai ressorti de la naphtaline l’ancien rasoir de papa qui, malgré une inutilisation prolongée, était encore en bel état (le rasoir, pas papa …).